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Petit traité des tables populaires
Très cher Lecteur,
À l’approche du Grand Événement de la Saison, il est de mon devoir, et de mon plaisir, de vous dévoiler aujourd’hui les fastes qui accompagneront les réjouissances populaires sur un sujet des plus chers à l’humanité : les plaisirs de la bouche ! Le tumulte de la fête, aussi raffiné fût-il, ne saurait prospérer sans que l’on pourvoie avec soin aux nourritures terrestres. Aussi verrons-nous, lors des Mandrinades, non moins de huit associations mandrinoises s’illustrer dans l’art de sustenter, de rafraîchir et de réjouir, chacune selon son esprit, ses traditions, et ses saveurs propres.
Le Tennis Club Mandrinois s’emploiera à combler les palais grâce à un service à table, dont le menu demeure pour l’heure dans le secret des cuisines, mais qui promet élégance et générosité. En sus, ses membres proposeront également une petite restauration à emporter, pour les âmes pressées ou buissonnières. Le Bièvre Saint-Geoirs Rugby Club, fidèle à sa robuste réputation, présentera un aligot-saucisse aux tablées des samedi et dimanche soirs, mets vigoureux, idéal pour requinquer les cœurs vaillants. Les services du midi, quant à eux, resteront une surprise jusqu’à l’instant du festin.
L’association Oxygène, toute en énergie et saveur, proposera un jambon à la broche digne des banquets d’autrefois, accompagné de ravioles fondantes, perles du Dauphiné, sans oublier quelques en-cas à emporter pour le promeneur curieux. L’Amicale des Sapeurs-Pompiers, toujours prompte à servir le bien commun, assurera une restauration simple et efficace, à emporter et à savourer au détour d’une échoppe ou d’un air de musique.
L’association Georges Antonin se distinguera par la sobriété nourrissante d’une soupe, probablement fumante et parfumée, accompagnée d’autres propositions culinaires, tout aussi humbles qu’appréciées. Le Football Club Mandrinois proposera également sa petite restauration, idéale pour une halte brève et joyeuse. L’association Rock en Bièvre, dont l’âme festive n’est plus à prouver, s’associera à la liesse générale avec une offre de restauration légère. Enfin, les Viennois au Chambaran, gens de terroir et de savoir-faire, apporteront un souffle bucolique à la fête. Leur taverne proposera des mets issus de leur ferme : tartines chèvre-miel, burgers fermiers, et boissons sans esprit, mais non sans fraîcheur.
Que l’on se rassure : tous ces mets seront accompagnés de boissons diverses adaptées aux goûts et aux heures. Le tout sera servi dans des gobelets réutilisables, geste à la fois écologique et élégant.
Ajoutons à cela que certains commerçants érigeront devant leurs boutiques un stand de restauration légère, participant à l’élan collectif de convivialité.
Que l’on ne s’y trompe point : toutes les autorisations furent déposées avec l’anticipation qu’impose la grandeur de l’événement, et nul nouveau prétendant ne saurait désormais s’ajouter à cette tablée festive. Les cuisines s’échauffent, et déjà l’on entend dans le lointain le murmure des couverts et le tintement des verres….
À l’approche du Grand Événement de la Saison, il est de mon devoir, et de mon plaisir, de vous dévoiler aujourd’hui les fastes qui accompagneront les réjouissances populaires sur un sujet des plus chers à l’humanité : les plaisirs de la bouche ! Le tumulte de la fête, aussi raffiné fût-il, ne saurait prospérer sans que l’on pourvoie avec soin aux nourritures terrestres. Aussi verrons-nous, lors des Mandrinades, non moins de huit associations mandrinoises s’illustrer dans l’art de sustenter, de rafraîchir et de réjouir, chacune selon son esprit, ses traditions, et ses saveurs propres.
Le Tennis Club Mandrinois s’emploiera à combler les palais grâce à un service à table, dont le menu demeure pour l’heure dans le secret des cuisines, mais qui promet élégance et générosité. En sus, ses membres proposeront également une petite restauration à emporter, pour les âmes pressées ou buissonnières. Le Bièvre Saint-Geoirs Rugby Club, fidèle à sa robuste réputation, présentera un aligot-saucisse aux tablées des samedi et dimanche soirs, mets vigoureux, idéal pour requinquer les cœurs vaillants. Les services du midi, quant à eux, resteront une surprise jusqu’à l’instant du festin.
L’association Oxygène, toute en énergie et saveur, proposera un jambon à la broche digne des banquets d’autrefois, accompagné de ravioles fondantes, perles du Dauphiné, sans oublier quelques en-cas à emporter pour le promeneur curieux. L’Amicale des Sapeurs-Pompiers, toujours prompte à servir le bien commun, assurera une restauration simple et efficace, à emporter et à savourer au détour d’une échoppe ou d’un air de musique.
L’association Georges Antonin se distinguera par la sobriété nourrissante d’une soupe, probablement fumante et parfumée, accompagnée d’autres propositions culinaires, tout aussi humbles qu’appréciées. Le Football Club Mandrinois proposera également sa petite restauration, idéale pour une halte brève et joyeuse. L’association Rock en Bièvre, dont l’âme festive n’est plus à prouver, s’associera à la liesse générale avec une offre de restauration légère. Enfin, les Viennois au Chambaran, gens de terroir et de savoir-faire, apporteront un souffle bucolique à la fête. Leur taverne proposera des mets issus de leur ferme : tartines chèvre-miel, burgers fermiers, et boissons sans esprit, mais non sans fraîcheur.
Que l’on se rassure : tous ces mets seront accompagnés de boissons diverses adaptées aux goûts et aux heures. Le tout sera servi dans des gobelets réutilisables, geste à la fois écologique et élégant.
Ajoutons à cela que certains commerçants érigeront devant leurs boutiques un stand de restauration légère, participant à l’élan collectif de convivialité.
Que l’on ne s’y trompe point : toutes les autorisations furent déposées avec l’anticipation qu’impose la grandeur de l’événement, et nul nouveau prétendant ne saurait désormais s’ajouter à cette tablée festive. Les cuisines s’échauffent, et déjà l’on entend dans le lointain le murmure des couverts et le tintement des verres….
Sir Etienne de Saint-Geoirs
