

Samedi 12 juillet : Un tourbillon de merveilles et de folies !
Dès l’instant où la cité s’animera aux trompettes de la grande cérémonie d’ouverture, l’on verra surgir de chaque ruelle des silhouettes fantasques : troubadours, saltimbanques, contrebandiers effrontés et marquis enrubannés. La fresque sera vivante, palpitante, digne des toiles les plus chatoyantes ! Les chères têtes blondes ne seront pas en reste, car un village tout droit sorti d’un songe leur ouvrira ses bras avec carrousel musical, jeux d’antan et mini-ferme. Pour les amateurs d’exploits belliqueux, un campement militaire se dressera, offrant au regard des badauds des démonstrations d’armes anciennes qui ne manqueront pas de faire frémir les plus hardis ! Non loin, une exposition savamment composée nous plongera dans l’épopée de notre héros local.
Un village des métiers d’antan réjouira les cœurs nostalgiques, tandis que le marché artisanal regorgera de merveilles propices aux dépensiers.
Puis, place aux cavaliers ! Que seraient les Mandrinades sans les chevauchées effrénées et les charges intrépides ? Une parade flamboyante animera également l’après-midi, suivie de spectacles de danse et de musique digne des plus somptueuses fêtes de cour. Le clou de la journée viendra lorsque la nuit offrira un spectacle pyrotechnique équestre qui éblouira jusqu’aux plus blasés, avant de céder la place à une soirée endiablée.
Dimanche 13 juillet : Toujours plus d’exquises fantaisies !
Le bal des merveilles reprendra de plus belle. L’émotion envahira l’assemblée dès le petit matin, lors de la Messe des Mandrinades, avant que l’enchantement ne reprenne avec un majestueux ballet de rapaces en vol libre. Plus tard, lorsque le jour s’inclinera avec délicatesse, une retraite aux flambeaux enflammera les rues, traçant des arabesques lumineuses dans la nuit estivale. Mais ce n’est pas tout, chers amis ! Il vous faudra encore écarquiller les yeux, car un feu d’artifice d’une splendeur inouïe éclatera en un bouquet final étourdissant avant de finir en musique…
La Saison nous promet des fastes inoubliables, et nul doute que les Mandrinades résonneront encore longtemps dans les salons et les alcôves.
Votre dévoué,
Sir-Etienne de Saint-Geoirs